lundi 22 juillet 2013

Pacific Rim

de Guillermo del Toro avec des robots géants et des monst' géants aussi.

Des monst'...
Quoi ? J'ai pas donné la liste des acteurs ? Mais on s'en cogne, ce sont les monst' et les rob... Ok, ça va, voilà. 

Donc, c'est avec Ron Pearlman, dans un petit rôle, fun, mais inutile. Et les autres on s'en tape. Ils sont biens, ils surjouent tous comme il faut. Ils ont bien compris, eux, que l'important ce sont les monst' et les robots géants !

Des monst' géants venant d'une autre dimension par une porte laissée ouverte au fond du Pacifique nous attaquent. Heureusement on a des robots géants pour leur casser la GL !

J'adore les flims de destruction, à ne pas confondre avec un autre genre légèrement disjoint: les flims catastrophes, c'est pas pareil. Et ici j'ai été servi. Le scénario n'est évidemment qu'un prétexte pour, non pas aligner les scènes de baston, mais pour nous les servir sur un plateau. Car une histoire, il y en a une. Prévisible, bateau, incohérente, peu développée, pas vraiment subtile mais il y en a une.

Le seul vrai point négatif ce sont les seconds rôles comiques : un Ron Pearlman inutile et deux scientifiques que l'on a envie de voir mourir dans d'atroces souffrances. On a l'impression que toutes les scènes les impliquant ont été tournées par Steven Spielberg façon la scène de l’œil dans Minority Repport. Ces scènes tombent comme de gros cheveux gras dans la soupe.

Au fait, ici point de sous texte politique sur fond historique. Il y a bien un ou deux scènes qui laissent entrevoir... non, stop, c'est un flim de robots et de monst' géants, c'est pas un flim sur la guerre d'Espagne !

Donc il y a des robots géants, des monstres encore plus géants, des bastons homériques, des immeubles pulvérisés comme on en a encore jamais vus au cinoche, le tout accompagné d'une musique excellente. C'est ça que j'étais allé voir, je n'ai pas été déçu !

Des monst' géants, des robots géants, du catch, de la destruction. Yeah !

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